Près de 20 000 sites autorisés pour la 4G au 1er mars 2015
19 898 sites sont autorisés, dont 16 303 en service, pour la téléphonie mobile très haut débit (4G) tous opérateurs confondus.
Les autorisations de sites 4G accordées au cours du mois de février ont été sensiblement plus nombreuses que les mois précédents. Le total des sites 4G autorisés a augmenté de 5,4 % par rapport à janvier.
Dans la bande 2,6 GHz, l’opérateur Free Mobile a obtenu 1 544 nouvelles autorisations, soit une augmentation de 36,1 % par rapport à ses sites autorisés au 1er février. Il détient désormais le plus grand nombre d’autorisations dans cette bande. Orange dispose en revanche du plus grand nombre de mises en service dans cette bande.
Outre-Mer, OPT NC continue de déployer son réseau 4G en Nouvelle-Calédonie, notamment par l’autorisation de 31 nouveaux sites en bande 800 MHz.
En 3G, le nombre total d’autorisations de sites s’établit à 40 136, dont 1 786 concernent l’Outre-Mer.
En 2G, 40 596 sites sont autorisés sur l’ensemble du territoire, dont 2 433 Outre-Mer.
Observatoire des déploiements 4G
Observatoire des déploiements 3G National
Observatoire des déploiements 3G Outre-Mer
Observatoire des déploiements 2G National
Observatoire des déploiements 2G Outre-Mer
Pour la 2G, la 3G et la 4G, l’Observatoire indique le nombre d’antennes-relais qui ont reçu un accord de l’ANFR ainsi que le nombre d’antennes que les opérateurs ont déclarées en service auprès de l’Agence (après avoir obtenu un accord de l’ANFR, un opérateur doit mettre son installation en service sous 18 mois s’il ne veut pas perdre le bénéfice de cet accord). L’Observatoire recense ces informations pour chaque opérateur de réseau mobile : Bouygues Télécom, Free Mobile, Orange et SFR.
Une distinction est faite en fonction de la bande de fréquence utilisée par l’installation radioélectrique :
- Pour la 2G : entre GSM 900 MHz et GSM 1 800 MHz ;
- Pour la 3G : entre UMTS 900 MHz et UMTS 2 100 MHz ;
- Pour la 4G : entre les bandes 800 MHz, 1 800 MHz (refarming) et 2 600 MHz.
L’Observatoire comporte enfin, pour chaque type de service (2G, 3G et 4G) et par bande de fréquences, le nombre de supports autorisés.
Exemple : sur un pylône sont installées une antenne-relais de SFR et une antenne-relais de Bouygues Télécom. Le service est de l’UMTS 2 100 pour chaque opérateur. Ce cas sera compté comme suit : « +1 » dans la colonne UMTS 2 100 pour SFR et « +1 » dans la colonne UMTS 2 100 pour Bouygues Télécom. En revanche, il ne comptera que comme un unique support supplémentaire.
Les colonnes « Accord ANFR » décomptent tous les accords d’implantation délivrés par l’ANFR au 1er du mois considéré, déduction faite des abandons qui ont pu avoir lieu. Les sites qui font l’objet d’une simple déclaration, c’est-à-dire ceux qui présentent une puissance inférieure à 5W, ne sont pas comptabilisés.