Près de 13 000 sites autorisés pour la 4G au 1er février 2014
12 945 sites ont été autorisés au 1er février 2014 pour la téléphonie mobile très haut débit (4G) tous opérateurs confondus. Ce chiffre est en hausse d’environ 3,4 % depuis le 1er janvier 2014.
L’Observatoire décliné au niveau des départements de la métropole depuis le début de cette année permet de suivre l’évolution des déploiements des réseaux mobiles, notamment 4G, dans les différents territoires.
Observatoire des déploiements 4G
Observatoire des déploiements 3G
Observatoire des déploiements 2G
Pour la 2G, la 3G et la 4G, l’Observatoire indique le nombre d’antennes-relais qui ont reçu un accord de l’ANFR ainsi que le nombre d’antennes que les opérateurs ont déclarées en service auprès de l’Agence (après avoir obtenu un accord de l’ANFR, un opérateur doit mettre son installation en service sous 18 mois s’il ne veut pas perdre le bénéfice de cet accord). L’Observatoire recense ces informations pour chaque opérateur de réseau mobile : Bouygues Télécom, Free Mobile, Orange et SFR.
Une distinction est faite en fonction de la bande de fréquence utilisée par l’installation radioélectrique :
- Pour la 2G : entre GSM 900 MHz et GSM 1 800 MHz ;
- Pour la 3G : entre UMTS 900 MHz et UMTS 2 100 MHz ;
- Pour la 4G : entre les bandes 800 MHz, 1 800 MHz (refarming) et 2 600 MHz.
L’Observatoire comporte enfin, pour chaque type de service (2G, 3G et 4G) et par bande de fréquences, le nombre de supports autorisés.
Exemple : sur un pylône sont installées une antenne-relais de SFR et une antenne-relais de Bouygues Télécom. Le service est de l’UMTS 2 100 pour chaque opérateur. Ce cas sera compté comme suit : « +1 » dans la colonne UMTS 2 100 pour SFR et « +1 » dans la colonne UMTS 2 100 pour Bouygues Télécom. En revanche, il ne comptera que comme un unique support supplémentaire.
Les colonnes « Accord ANFR » décomptent tous les accords d’implantation délivrés par l’ANFR au 1er du mois considéré, déduction faite des abandons qui ont pu avoir lieu. Les sites qui font l’objet d’une simple déclaration, c’est-à-dire ceux qui présentent une puissance inférieure à 5W, ne sont pas comptabilisés.