Près de 21 000 sites autorisés pour la 4G au 1er août 2015
Au 1er août 2015, 21 212 sites sont autorisés, dont 18 044 en service, pour la téléphonie mobile très haut débit (4G) tous opérateurs confondus.
Les autorisations de sites 4G accordées au cours du mois de juillet ont augmenté de 1,3% par rapport au mois de juin.
11 761 sites sont autorisés pour la 4G dans la bande 800 MHz (+ 2,9 % sur un mois).
7 123 sites sont autorisés pour la 4G dans la bande 1 800 MHz (+ 0,6 % sur un mois).
14 722 sites sont autorisés pour la 4G dans la bande 2,6 GHz (+ 1,6 % sur un mois).
Le bilan des sites 4G mis en service en métropole s’établit comme suit :
- Orange (7 695 sites)
- Bouygues Telecom (6 691 sites)
- Free Mobile (4 258 sites)
- Numericable-SFR (3 412 sites)
Pour en savoir plus :
- Communiqué de presse (04/08/2015)
- Résultats et graphiques au niveau national (y compris Outre-Mer)
- Observatoire sous forme cartographique
- Résultats par département (Métropole et Outre-Mer)
Observatoire des déploiements 4G
Observatoire des déploiements 3G National
Observatoire des déploiements 3G Outre-Mer
Observatoire des déploiements 2G National
Observatoire des déploiements 2G Outre-Mer
Pour la 2G, la 3G et la 4G, l’Observatoire indique le nombre d’antennes-relais qui ont reçu un accord de l’ANFR ainsi que le nombre d’antennes que les opérateurs ont déclarées en service auprès de l’Agence (après avoir obtenu un accord de l’ANFR, un opérateur doit mettre son installation en service sous 18 mois s’il ne veut pas perdre le bénéfice de cet accord). L’Observatoire recense ces informations pour chaque opérateur de réseau mobile : Bouygues Télécom, Free Mobile, Orange et SFR.
Une distinction est faite en fonction de la bande de fréquence utilisée par l’installation radioélectrique :
- Pour la 2G : entre GSM 900 MHz et GSM 1 800 MHz ;
- Pour la 3G : entre UMTS 900 MHz et UMTS 2 100 MHz ;
- Pour la 4G : entre les bandes 800 MHz, 1 800 MHz (refarming) et 2 600 MHz.
L’Observatoire comporte enfin, pour chaque type de service (2G, 3G et 4G) et par bande de fréquences, le nombre de supports autorisés.
Exemple : sur un pylône sont installées une antenne-relais de SFR et une antenne-relais de Bouygues Télécom. Le service est de l’UMTS 2 100 pour chaque opérateur. Ce cas sera compté comme suit : « +1 » dans la colonne UMTS 2 100 pour SFR et « +1 » dans la colonne UMTS 2 100 pour Bouygues Télécom. En revanche, il ne comptera que comme un unique support supplémentaire.
Les colonnes « Accord ANFR » décomptent tous les accords d’implantation délivrés par l’ANFR au 1er du mois considéré, déduction faite des abandons qui ont pu avoir lieu. Les sites qui font l’objet d’une simple déclaration, c’est-à-dire ceux qui présentent une puissance inférieure à 5W, ne sont pas comptabilisés.